Mao-Tse-Toung
est un grand polisson,
Il aime à farfouiller sous le jupon,
Se sentant sur la pente,
il change de nana,
Et tombe aux mains d’une actrice de cinéma.
Il a raté son coup
et perdu son ventre,
C’est qu’elle a du tempérament en excédent,
Cette femme, je veux
dire cette chienne
Reine et maîtresse de la révolution culturelle.
Allez, debout, Tin-Dzian,
attrape le talmud
Partout déjà tremblotent les ennemis,
La fin s’approche
et de Liu-Chao-Shi
Sa reine a brisé les deux jambes de cabot.
Qui les Citations ne lit
est goujat et renégat,
Sur les fesses on lui colle un gros Dazibao,
Qui discute les Écrits
de Mao prend sur le dos
La femme de Mao et son copain Lin-Piao!
Qui ne croit pas en nous
est vaurien et voyou
Qui ne croit pas en nous est pleurnichard et larbin.
Il n’a pas traversé
le Yangtsé, Marx le gamin,
Et Mao le Chinois a dégommé le juif Karl.
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