On allume les chandelles pour mm le soir Et ton image en est tout obscurcie. Que le temp guérit, je ne veux pas le savoir Ni que tout passe et s’en va avec lui. Je n’échaoperai pas au repos désormais, Tout se que j’avais dans l’âme, pour une année, Sans le savoir, elle l’a emporté. D’abord au port, et dans l’avion apres. On allume les chandelles pour moi le soir Et ton image en est toute obscurcie. Que le temps guérit, je ne veux pas le savoir Ni que tout passe et s’en va avec lui. Et dans mon âme, c’est le désert complet, Ce coeur en lambeaux ne peut rien vous donner! Sauf bouts de chansons et toiles d’araignées, Car tout le reste, elle l’a emporté. On allume les chandelles pour moi le soir Et ton image en est toute obscurcie. Que le temps guérit, je ne veux pas le savoir Ni que tout passe et s’en va avec lui. Et vers mes rêves, nul chemtn ne conduit. Creusez mon âme vous ne trouverez ici Que deux demi-prasez des dialogues à demi, Et tout le reste c’est la France, c’est Paris... On a beau tout aluner chaque soir Et ton imag peut bien être obscurde, Que le temps guérit, je ne veux pas le savoir Ni quc tout passe et s’en va avec lui.  
© Michel & Robert Bedin. Traduction, 2003